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Dream Lethal

29 août 2008

Euphorante Agonie.

Cette chaleur... Je ne l'avais pas ressentie depuis longtemps, cette envie de liberté, comme si tout était possible. Une grande bouffée d'air frais, c'était comme si je revivais mais, je n'avais pas l'habitude, j'avais peur de faire un faux pas. Dans tout ce bonheur j'avais peur d'être la tache, d'être la goutte qui faisait déborder le vase. Ce vase était la joie, je ne voulais pas qu'il s'échappe par ma faute. Je ne voulais pas être responsable, je voulais rester dans les grains de sables dorées, ne pas être le point noir. Alors il fallait fermer les yeux, avoir confiance et se laisser emporter par le Destin.
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20 juin 2008

Ivre de Chagrins...

Parce que j'en ai ras le bol des trahisons, des promesses perdues, des amours fichues, des garçons battus... Je déprime. Envie de rien, besoin de Toi, mais tu t'en fous. Alors je reste dans le noir sans rien y voir juste pour toi. Mais tu t'en fous. J'ai l'impression que tu m'as trahie et j'ai perdue une passion à demie. Celle de t'aimer, de s'adorer, j'aurais pas du. Une promesse plus importante que tout a mes yeux, tu l'as rompu. J'ai mal, je souffre mais tu t'en fous. Tant que t'es heureux, plus rien ne t'apporte. J'ai persister, je veux pas abandonner, je veux croire aux miracles. Celle de te voir à mes cotés, mais je crois que jamais j'y arriverai. J'ai envie de te claquer la porte au nez, que tu tombes dans les entrailles de l'enfer. Je veux te voir regretter, et puis partir, sans joie, ni bonheur. Je veux que tu souffre autant que moi, car c'est le seul moyen que je trouve pour te parler. Mais tu t'en fous. Mes menaces ne mène à rien, faut il que je sois morte pour que tu recommences à m'aimer ? Chagrins d'amour, ce n'est que du poison. Aurais-je confiance en quelqu'un maintenant que tu m'as dégoûté de cette envie ? L'amour, quand on ne sais pas s'y prendre, ça détruit et ça fais souffrir, autant que l'on ne peux plus aimer, que l'on a plus confiance et qu'on commence à déprimer. Mais moi je veux pas, je veux sourire a nouveau, ne plus te voir me hanter, mais j'y arrive pas. Je suis comme les autres, une victime, une meurtrière, ne sachant où regarder dans la peur d'aimer et d'être trahie. Sentiment inexpliqué, inconnu de tout scientifiques, l'amour est une bombe à retardement qui, quoi qu'il arrive explose a un moment critique. C'était trop tôt pour moi... Trop tôt pour que je me relève et regarder en face la vie devant moi. Je me sens coupable mais jusqu'à quand je vais avoir mal, dans ce coeur, pompe vitale ? Bientôt il ne battra plus, pour personne, même plus pour moi. D'un moment à l'autre, dans cinq minutes ou dans cent ans, je peux partir, je veux partir loin de toi...
20 juin 2008

Danse incessante que je subissais sans broncher.

Danse incessante que je subissais sans broncher. Un coups de couteau ici, un coups de couteau là. Il m'entaillai la peau avec un certain délice. La chair n'était plus que noyé dans le sang. Mais il prenait plaisir à ça. Un coups de couteau là, un coups de couteau ici. Je n'avais même plus la force de m'accrocher, plus la force de me relever. Mes lèvres ensanglantés ne semblaient plus pouvoir émettre la moindre vibration qu'exercerai mes cordes vocales, si elle pouvait ce n'est ce qu'émettre un tremblement. Je me sentais affaibli, le seul mouvement que je pouvais exécuter était de respirer et là encore, j'avais mal. Alors qu'il tranchait mes veines en chantonnant, je n'en pouvais plus, j'aurai du tomber dans les pommes mais le liquide qu'il m'avait fais boire semblait me faire rester éveillé. Sans doute pour souffrir le plus possible ? La petite pièce dans laquelle j'étais, était tout d'abord ivoire, nacrée, mais cela ne dura guère, et elle devint rouge sang, bordeaux. Je n'aurai jamais cru que j'aurai autant de ce liquide vital, je pouvais assister moi même à ma propre anatomie. Ma main reposait sur le sol, si je ne puis dire le petit bassin rougeâtre...
19 juin 2008

Trahison Familiale...

... On ne distinguait rien, qu'un tunnel noir. Il faisait froid et à part les ténèbres, rien ne régnait. On aurait pu croire que la moindre trace de luminosité, le moindre rayon de soleil n'avait jamais traversé ce ciel clos. L'ombre menaçante de mon tueur me faisait face et me frolait en me caressant la joue lentement. J'étais seule. Dans l'obscurité. J'allais mourir, et je le savais. Pourtant je n'avais pas peur, je voulais... Être heureuse avant de mourir et je laissai l'inquiètude derrière moi. On aurait pu croire que ce Lieu était immense, qu'Il était observer continuellement. Je frissonna et laissa ce détail avant de sentir la douceur des doigts de mon meurtrier. Il me fit frémir. J'aurais pu pensé que cet Endroit avait un rapport avec Lui et pourtant, à part l'incertitude de Le connaitre, je ne voyais rien. J'étais faible, livrer à moi même. J'étais aller moi - même au piège livrer par cet être. J'ai avancer en sachant que c'était une embuscade mais j'ai continuer, j'ai marcher et je suis tomber. Très bas. Beaucoup trop bas pour pouvoir remonté. Il s'approcha de moi et Ses mains glacés saisirent mon visage. J'avais compris. Il voulait me faire souffrir avec de m'achever. Autant me prêter au jeu, j'en serai plus heureuse. Je m'habitua à la froideur qui envahissait mon visage peu à peu avant de sentir Ses lèvres sur les miennes. Tout aussi glacé que le reste de mon corps. Je me laissa tomber mais Il me retenait fortement. Je ne voulais pas disparaître, envouter par le délicieux parfum que libérait cet être, si différent. Puis, comme si l'on m'arrachait à un rêve parfait de Cendrillon et du Prince Charmant, je m'écroula et commença une chute sans fin avant de sentir comme un coup dans le ventre. Il me saisit une nouvelle fois, et j'en fus presque satisfaite. Seulement, mes souffrances n'étaient pas au bout de mes peines. Je sentis un deuxième coup dans le ventre. Seulement, là, ce n'était pas un coup de poing ordinaire. Non. C'était un... Poignard qui était dans mon Abdomen. Je porta ma main dessus et le retira d'une seule traite avant de sentir que je n'avais aucune trace. Il n'y avait pas de sang. Je fus rassurer et une nouvelle fois, Il me prit au dépourvu et reposa ses douces lèvres contre les miennes. Et pour la première fois, sa voix se fit entendre. Telle un murmure lointain, un léger son se fit entendre avant de remonter à mes oreilles. Anna... Anna... Je... Pardonne moi. J'écarquilla les yeux et malgré la pénombre, je distinguais mon interlocuteur. Sa voix m'était familière et... Je m'attendais à tout, sauf ça. Pourquoi Lui ? Pourquoi est-ce qu'il fallait que ce soit Lui qui m'achève ? Pourquoi ? Tant d'incertitude, et moi, qui m'étais fait une promesse de rester heureuse jusqu'a ma mort. Je voulu lui tomber dans les bras en lui disant à quel point Il m'a manquer mais, la peur me pétrifia. La peur qu'il ne m'aime plus, la peur qu'il voit, que je n'ai plus confiance en Lui. Que je le craint. Il posa un dernier baiser sur mes lèvres avant que je ne meurs. C'était... Mon frère. ...
19 juin 2008

{ ... }

Ce sentiment, cette pensée que je voulais éloigner revint à un moment critique. Celui où j'étais la plus vulnérable, faible, naïf. S'emparant de moi, la haine caressa mes lèvres comme pour me convaincre de le tuer. Mais avant il devait souffrir. Lui qui avais peur de se séparer de moi m'avait lâchement abandonné comme une chose où l'on mourrait d'envie de se débarrasser. Les larmes revinrent, perlèrent le long de ma joue dans une danse enflammé. J'étais... Minable. Peut être fallait il en finir rapidement ? Cette pensée m'arracha un sourire avant de repenser au bonheur que, Lui, ressentait en ce moment. Mes poings se serrèrent dans quelques craquements sonores. Je voulais voir son sang couler, je voulais le voir hurler. Regretter. La jalousie rageait dans mon esprit. Ce ne fus que le délicieux goût du sang qui me fit revenir à la vie réelle. Ma langue saignait, abondamment, sans doute percer par mes dents assoiffés de croquer de la chair. J'ignora ce fait et me dirigea vers la fenêtre de ma chambre. Je jura. Pas assez haut. Au pire je me cassais les deux jambes et quelques cotes avec mais pas assez pour mourir. Peut être devrais-je faire comme mon oncle ? Avec les immeubles les vies se finissaient rapidement, c'était clair et efficace. Sauter serait sans doute le mouvement le plus difficile. En aucun cas je ne voulais rester en vie. Non... Survivre. Ma rage en avez assez de mes temps de réflexions, mon sang ne fit qu'un tour et je cogna contre le mur. On y voyait la trace, je recommença plusieurs fois et m'arrêta avant que ma main, noyé dans ce liquide rouge, ne refuse de m'obéir. Je voulais mourir. Maintenant ! Pas demain, pas dans deux jours, mais ici en ces lieux familiers porteurs de souvenirs. J'avais frôler la mort plusieurs fois, pourquoi n'était je pas partie ailleurs que ce monde d'injustice ? Pourquoi ? Je descendit les escaliers sans me douter du sang qui se répandais sur le sol venant de ma main. Je fouilla le tiroir de la cuisine avec ma valide. J'en sortis un couteau assez large. Directement, sans réfléchir un instant je la frotta à mes veines, ce ne fut qu'après de longues minutes que la peau cédé et une veine fut enfin tranché. Je serra les dents en dépit de la douleur qui me faisait souffrir, j'étais en piteuse état, ruisselante de sang. Je n'avais plus qu'un main à peine apte à bouger et celle-ci laissa tomber le couteau que je tenais maladroitement entre mes doigts. Il vint s'écraser à coter de ma cheville. Quelle malchance ! Deux, trois centimètres à gauche et mon pied était sectionné. Ne relâchant pas la pression entre mes dents, je tenta de marcher malgré mes blessures que je m'était infligé. Dans quel but ? Pour éviter de blesser ou pire une certaine personne. Je vacilla et mes jambes ne fut plus capable de mon porter, tout devint flou et je m'effondras sur le carrelage, glacé. Encore consciente. Un soudain mal de tête m'envahis, plus douloureux que tout ceux qui m'avait tenaillé jusqu'à présent. Je jeta un regard apeurer vers le haut et je vis du sang qui coulais depuis le sommet du crâne, du moins quelque part par là. Ca devait être un spectacle ravissant. Une jeune fille noyé dans son propre sang pour une raison mystérieuse. C'était subtile comme titre de journal. Ma tête bouillait d'idées de morts quand je tenta d'écarter mon bras droit. Etrange sensation de vide quand je n'eut aucun résultat à part la douleur de mes articulations. Impossible de bouger une seule partie de mon corps. Ce n'était pas le mal qui m'empêchait, mais j'avais l'impression qu'on m'eut sectionner tout bras et toutes jambes. Ma respiration haletante de peur devint hésitante puis... Se stoppa nette. Je chercha quelconque moyen de remplir mes poumons mais en vint. Mes yeux restèrent à fixer le sang couleur avec joie. Puis... Plus rien. Une sensation d'oubli, de profond vide m'envahis. Je n'osa pas soulever les paupières mais j'était dans un endroit lumineux, très lumineux. Etais-je au Paradis ? Je chassa cette idée avec dégout. Les suicidaires n'allaient pas dans un endroit si merveilleux. Non. Eux, ils errer seuls, punit de leurs méfaits par des souffrances " Eternels ". Je me risqua d'ouvrir un oeil. La lumière vive m'aveugla. Ce ne fut qu'après des clignements incessants des yeux que je parvins à distinguer où j'étais. Une grande salle blanche, presque nacrée. Ca aurait pu être rassurant mais les outils sur le coté ne laissait pas cette pensée s'affirmer. Je tenta de bouger un bras... Rien, encore une fois. Les jambes et l'autre bras eurent la même réaction... De vide. Soudain un minuteur incessant se déclencha et bourdonna dans mes oreilles.Je ne put m'empêcher de gémir de douleur. Qu'on arrête cette machine infernale ! A l'entente des " Bips " infatigables, des gens gens en blouse blanches vinrent ainsi qu'un femme hurlant des paroles inaudible. Non, j'étouffais avec toute cette présence... Non. Partez ! Mon regard se posa alors sur la machine qui m'avait trahie et elle relâcha un long " Bip ". Je compris immédiatement... Je venais de rendre mon dernier souffle.
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19 juin 2008

Songs...

Des chansons tout d'abord réalisé pour le groupe d'une amie à moi, mais j'ai toujours oublié de lui donner, bref, voici les écrits... Encre et Papier, Chair et Sang. Encre et papier n'est que chair et sang. Souffrance et douleur n'était qu'amertume et désespoir. Toutes ces pages, toutes ces vies. On les arraches, on les tues. Une vie pour l'un, une mort pour l'autre. Encore et papier n'était que chair sang. Un livre usée, une existence passé. Une mort vite annoncé, une histoire terminée. N'attendant plus que le gèle pour disparaître... Une vie oubliée... ? Encre et papier n'est plus chair et sang... Ce ne sera plus que mort et vie. Bonheur et Malheur. Un allé simple pour l'enfer. Il ne manquait qu'un peu d'amour... _________________________________________________________ Nothing. Tel un murmure voyageant avec le vent, Je t'ai dit de me laissé seule, et tu l'as fait. Tel un miroir reflétant l'obscurité de mon masque sans destiné, Tu es parti au loin. Perdue, je suis, je veux que tu reviennes mais je t'ai tué aussi vif que tu vivait. Je te regrette et je meurs reflets par reflets, Je ne suis plus que poussière mourante d'obsession. Comme une tentation... Tel un murmure voyageant avec le vent, Je t'ai dit de me laissé seule, et tu l'as fait. Tel un miroir reflétant l'obscurité de mon masque sans destiné, Tu es parti au loin. Je vais te rejoindre mais ai-je fais le bon choix ? Je ne suis plus sure de moi. Au bord de ma fenêtre hésitante sur ce fait, Je ne te reverrai jamais. _________________________________________________________ Obsession, Tentation. La mort n'est pas la fin, c'est une nouvelle vie de cauchemar. De ciel rouge sang, et de bonheur inexistant. D'une simple brise, tout s'envole comme mon amour pour toi. Mais pourquoi tant de souffrance pour une existence passive ? Vivre... Une obsession pour les autres, Mourir... Une tentation pour moi. On va tous casser le fil de la vie alors plus tôt ou plus tard, Que d'importance ? Un jour je te rejoindrai, toi, âme qui cherche la paix. Car si je vie encore, c'est seulement parce que je sais qu'un jour, Je te retrouverai. Vivre... Une obsession pour les autres, Mourir... Une tentation pour moi.
19 juin 2008

Life is a long quiet river... ?

La Vie est un long fleuve tranquille. Ne jamais tomber amoureux d'un garçon aux yeux bleus car tu crois y voir la mer et tu y fais naufrage... Tu es libre de croire que tu es con, tu es con de croire que tu es libre. Dans la vie, il faut savoir compter, mais pas sur les autres. Quand on est jeune on aime rêver. Quand on est adulte on rêve d'aimer. Je voudrais être un princesse mais un princesse sans prince charmant, ça n'existe pas...
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